Musée des Beaux-Arts d'Orléans
expositions
Le musée des Beaux-Arts d’Orléans est l’un des plus riches et anciens musées de France. Il organise régulièrement des expositions temporaires. Nous avons débuté notre collaboration à l'occasion de l'exposition XVIIIe, marquant la réouverture des salles éponymes.
• Les affiches, diffusées localement mais aussi dans le métro parisien, mettent en exergue la ville d’Orléans à travers un jeu typographique autour du « E » exposant du titre XVIIIe ! composé en didone, famille typographique apparue à la fin du 18e siècle et qui fait écho au nouveau logo du musée.
• Pour mettre en lumière Delaperche, artiste du XVIIIe peu connu, le musée propose une exposition temporaire. Pour l'occasion, une affiche teasing (deux mois avant l'exposition) dévoile une partie de l'œuvre et l'univers de ce dessinateur. Puis, une autre série d'affiches, vue à Paris et Orléans, joue avec les sujets et la mise en scène des œuvres pour communiquer sur l'exposition.
• En juin 2021, démarre l'exposition Dans la poussière de Séville... sur les traces du Saint-Thomas de Velázquez qui reconstitue l’histoire du chef-d’œuvre acquis au XIXe siècle. La police de caractère Cigra aux empattements caractéristiques évoque la trace laissé par l'outil et le geste du dessinateur. Cette prouesse technique est mise en lumière par le cadrage serré de l'affiche, invitant le spectateur à visiter l'exposition pour découvrir l'œuvre dans son ensemble.
• Fin 2021, deux expositions démarent simultanément : Revoir le XIXe, mettant en avant le nouveau parcours proposé par le musée, et Ingres avant Ingres, dessiner pour peindre, consacrée aux jeunes années du peintre néoclassique. Nous réalisons à cette occasion une double-affiche qui, à l’instar d’une carte de jeu, peut être lue dans les deux sens.
• Fin 2022, le musée expose Jean Bardin, artiste majeur lié à l’histoire du musée et de la ville. L’affiche repose sur un cadrage de l’œuvre qui valorise les chevaux et le rois gisant, surlignés par la composition des textes. Les typographies Nocturno Stencil (reprise du graphisme scénographique) et Silka, apportent une modernité à la lecture de cette œuvre.